
Dans un communiqué du 6 août 2013, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) publie un nouveau protocole clinique et les lignes directrices en vue de traiter les conséquences des traumatismes et de la perte de proches sur la santé mentale.
Dans ce communiqué, l’OMS préconise en premier lieu l’utilisation de la thérapie EMDR (désensibilisation et de reprogrammation par le mouvement des yeux) ou la thérapie cognitivo-comportementale.
Dans notre quotidien de thérapeute, nous rencontrons de nombreux patients victimes de violences: violence urbaine, agressions, mais aussi violence familiale (femmes battues, séquelles de maltraitances infantiles), accident du travail ou violences subies par l’impact d’événements de vie brutaux, telle la survenue d’un deuil soudain ou d’un accident de la route…
Les conséquences psychologiques pour les patients, de ce types d’événements sont regroupées sous ce que le DSM 5 nomme l’Etat de Stress Post Traumatique (ESPT ou PTSD).
L’ESPT se définit par un ensemble de réactions (ou symptômes) qui peuvent se développer après avoir vécu ou été témoin d'un événement traumatique, c'est-à-dire un événement qui a provoqué la mort ou de sérieuses blessures ou qui impliquait une menace de mort ou de graves blessures.
L’OMS précise que la thérapie EMDR permet d’aider les personnes à atténuer les souvenirs vivaces, non désirés, et intrusifs à répétition liés à un événement traumatique.
La thérapie EMDR repose sur l’action de mouvements oculaires permettant ainsi l’activation du processus de «digestion» bloqué par l’événement traumatique.
En outre, l’OMS émet une réserve très forte sur l’utilisation des benzodiazépines, anxiolytiques d’usage courant dans le cadre des symptômes de stress liés à un traumatisme récent. Les principales inquiétudes que soulèvent l’usage des benzodiazépines sont que de nombreux sujets développent une tolérance à leurs effets, n’obtiennent qu’un faible bénéfice thérapeutique d’une prise régulière, en deviennent dépendants et souffrent d’un syndrome de sevrage à l’interruption du traitement.
L’OMS insiste aussi sur l’intérêt d’aider les gens à trouver et à renforcer des méthodes positives d'adaptation et à mobiliser des soutiens sociaux.
La thérapie EMDR répond spécifiquement aux besoins des patients en état de stress post traumatique s’appuyant sur un processus neuro-émotionnel naturel conduisant à évacuer à terme le traumatisme.
Dans ce communiqué, l’OMS préconise en premier lieu l’utilisation de la thérapie EMDR (désensibilisation et de reprogrammation par le mouvement des yeux) ou la thérapie cognitivo-comportementale.
Dans notre quotidien de thérapeute, nous rencontrons de nombreux patients victimes de violences: violence urbaine, agressions, mais aussi violence familiale (femmes battues, séquelles de maltraitances infantiles), accident du travail ou violences subies par l’impact d’événements de vie brutaux, telle la survenue d’un deuil soudain ou d’un accident de la route…
Les conséquences psychologiques pour les patients, de ce types d’événements sont regroupées sous ce que le DSM 5 nomme l’Etat de Stress Post Traumatique (ESPT ou PTSD).
L’ESPT se définit par un ensemble de réactions (ou symptômes) qui peuvent se développer après avoir vécu ou été témoin d'un événement traumatique, c'est-à-dire un événement qui a provoqué la mort ou de sérieuses blessures ou qui impliquait une menace de mort ou de graves blessures.
L’OMS précise que la thérapie EMDR permet d’aider les personnes à atténuer les souvenirs vivaces, non désirés, et intrusifs à répétition liés à un événement traumatique.
La thérapie EMDR repose sur l’action de mouvements oculaires permettant ainsi l’activation du processus de «digestion» bloqué par l’événement traumatique.
En outre, l’OMS émet une réserve très forte sur l’utilisation des benzodiazépines, anxiolytiques d’usage courant dans le cadre des symptômes de stress liés à un traumatisme récent. Les principales inquiétudes que soulèvent l’usage des benzodiazépines sont que de nombreux sujets développent une tolérance à leurs effets, n’obtiennent qu’un faible bénéfice thérapeutique d’une prise régulière, en deviennent dépendants et souffrent d’un syndrome de sevrage à l’interruption du traitement.
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www.hypnose-marseille.fr
Cabinet d'Hypnose Ericksonienne, EMDR - IMO de Marseille
Proche de la rue Montgrand, et du Metro Préfecture
57, rue Paradis
Marseille 13006
06 15 21 12 59
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Laurence ADJADJ
Hypnothérapeute, Thérapie EMDR, Thérapies Brèves, Psychologue.
Formatrice en Hypnose Ericksonienne, EMDR, Thérapies Brèves Orientées Solution à l’Institut Hypnotim de Marseille, dont elle est Présidente Fondatrice.
Exerce dans le Cabinet d'Hypnose, Thérapies Brèves et EMDR de Marseille 13006
Conférencière au sein des congrès de la CFHTB, Confédération Francophone d'Hypnose et Thérapies Brèves.
Rédactrice web sur l’Hypnose et les Thérapies Brèves… En savoir plus sur cette rédactrice
Hypnothérapeute, Thérapie EMDR, Thérapies Brèves, Psychologue.
Formatrice en Hypnose Ericksonienne, EMDR, Thérapies Brèves Orientées Solution à l’Institut Hypnotim de Marseille, dont elle est Présidente Fondatrice.
Exerce dans le Cabinet d'Hypnose, Thérapies Brèves et EMDR de Marseille 13006
Conférencière au sein des congrès de la CFHTB, Confédération Francophone d'Hypnose et Thérapies Brèves.
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