Dans le cadre de mon activité clinique, j’ai suivi deux personnes à la même période qui avaient un symptôme identique : des sensations de brûlures au cou, qui se sont avérées ensuite persistantes malgré l’évolution positive de la thérapie. J’ai été surprise de cette concomitance sur un symptôme qui n’est pas très fréquent. Les thérapeutes ont coutume de remarquer qu’ils reçoivent parfois des patients sur une même période ayant des problématiques similaires. C’est comme s’il m’était donné d’avoir à progresser sur cette question des symptômes persistants contre toute attente !
OBSERVATION DES SIMILARITÉS
J’ai exploré les parcours de ces deux personnes et j’ai pu observer des concordances :
- Des femmes de plus de 50 ans, qui se sont remises en question en modifiant leur contexte de travail, ou d’activité, l’une en se spécialisant dans une pratique de soin alternatif énergétique, l’autre en investissant sa retraite pour modifier son rapport aux autres qu’elle jugeait défaillant.
- Elles sont donc arrivées en thérapie pour parfaire leur déploiement personnel et traiter ce symptôme qui venait signer un problème qu’elles ne comprenaient pas. Elles se sentaient impuissantes après avoir fait toutes les investigations nécessaires. Elles avaient le sentiment qu’elles avaient pourtant bien progressé dans leur vie, l’une dans ses rapports familiaux et particulièrement dans la relation avec ses filles, et l’autre dans son travail, entretenant de plus en plus le lien avec ses clients autrement que par la maîtrise de la technique. Il y avait donc une part d’elles qui validait cette évolution et une autre qui venait tuer l’espoir.
- Leur rapport aux autres, sans le savoir, était avant tout un rapport au monde. La confiance en la relation à l’autre en tant qu’être humain avait besoin de se construire, car c’était un rapport mentalisé qui pouvait s’exprimer à travers la confiance en la compétence du thérapeute et non pas envers la personne du thérapeute.
- La brûlure au cou exprimait une analogie en lien avec la honte. Le symptôme s’est manifesté pour l’une à la naissance de sa première petite-fille, qu’elle a clairement mis en lien avec sa fille aînée qu’elle pense avoir insuffisamment protégée petite (je ne suis pas digne, donc pas capable d’être une grand-mère), pour l’autre lorsqu’elle a fait sa formation dans le soin énergétique, avec un fort sentiment d’illégitimité (je n’ai pas le droit, donc pas le droit d’aller mieux).
- Tout au long de ces séances, pour l’une comme pour l’autre, tant que nous n’avions pas suffisamment sécurisé les bases (liens « sécures » et évolution positive de leurs projets de vie), le travail sur le symptôme, à proprement parlé, ne faisait qu’aggraver la situation. J’ai constaté que des améliorations survenaient après les séances ou nous renforcions le lien entre nous, et que des retours en arrière se manifestaient en effet lorsque nous tentions de vaincre les brûlures ! D’une manière générale, quand ça bougeait, ça ne tenait pas dans le temps comme si les brûlures fixaient une limite au travail, limite de ce qui ne devait pas être dépassé, limite de ce qui était acceptable dans leur représentation d’elle-même dans leur vie.
- Enfin, elles mentalisaient ce qu’elles vivaient, avec le sentiment de ne pas être en contact avec leur corps. Le mental leur avait toujours servi à tenir debout, pour rationaliser, relativiser, trouver de la cohérence, etc., il était donc omniprésent.
OBSERVATION DES SIMILARITÉS
J’ai exploré les parcours de ces deux personnes et j’ai pu observer des concordances :
- Des femmes de plus de 50 ans, qui se sont remises en question en modifiant leur contexte de travail, ou d’activité, l’une en se spécialisant dans une pratique de soin alternatif énergétique, l’autre en investissant sa retraite pour modifier son rapport aux autres qu’elle jugeait défaillant.
- Elles sont donc arrivées en thérapie pour parfaire leur déploiement personnel et traiter ce symptôme qui venait signer un problème qu’elles ne comprenaient pas. Elles se sentaient impuissantes après avoir fait toutes les investigations nécessaires. Elles avaient le sentiment qu’elles avaient pourtant bien progressé dans leur vie, l’une dans ses rapports familiaux et particulièrement dans la relation avec ses filles, et l’autre dans son travail, entretenant de plus en plus le lien avec ses clients autrement que par la maîtrise de la technique. Il y avait donc une part d’elles qui validait cette évolution et une autre qui venait tuer l’espoir.
- Leur rapport aux autres, sans le savoir, était avant tout un rapport au monde. La confiance en la relation à l’autre en tant qu’être humain avait besoin de se construire, car c’était un rapport mentalisé qui pouvait s’exprimer à travers la confiance en la compétence du thérapeute et non pas envers la personne du thérapeute.
- La brûlure au cou exprimait une analogie en lien avec la honte. Le symptôme s’est manifesté pour l’une à la naissance de sa première petite-fille, qu’elle a clairement mis en lien avec sa fille aînée qu’elle pense avoir insuffisamment protégée petite (je ne suis pas digne, donc pas capable d’être une grand-mère), pour l’autre lorsqu’elle a fait sa formation dans le soin énergétique, avec un fort sentiment d’illégitimité (je n’ai pas le droit, donc pas le droit d’aller mieux).
- Tout au long de ces séances, pour l’une comme pour l’autre, tant que nous n’avions pas suffisamment sécurisé les bases (liens « sécures » et évolution positive de leurs projets de vie), le travail sur le symptôme, à proprement parlé, ne faisait qu’aggraver la situation. J’ai constaté que des améliorations survenaient après les séances ou nous renforcions le lien entre nous, et que des retours en arrière se manifestaient en effet lorsque nous tentions de vaincre les brûlures ! D’une manière générale, quand ça bougeait, ça ne tenait pas dans le temps comme si les brûlures fixaient une limite au travail, limite de ce qui ne devait pas être dépassé, limite de ce qui était acceptable dans leur représentation d’elle-même dans leur vie.
- Enfin, elles mentalisaient ce qu’elles vivaient, avec le sentiment de ne pas être en contact avec leur corps. Le mental leur avait toujours servi à tenir debout, pour rationaliser, relativiser, trouver de la cohérence, etc., il était donc omniprésent.
Formation Certifiée par France EMDR IMO ®.
La seule et unique Certification Officielle en EMDR IMO ® en Europe..
Cette formation vous permettra d'utiliser l'Intégration des Mouvements Oculaires en Thérapie avec les outils thérapeutiques que vous utilisez déjà en pratique clinique. (Hypnose, Approches Centrées Solution etc...)
Alors, rendez-vous à Paris, Marseille, Annecy, et bientôt Bordeaux, Nancy, Strasbourg, Lausanne et Genève, avec des instituts membres de la CFHTB, pour une formation réellement INTEGRATIVE.
www.formation-emdr.fr/
Agenda des prochaines formations
Annuaire de thérapeutes sur EMDR.FR
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DÉROULÉ GLOBAL DE LA THÉRAPIE
Le travail a commencé par la sécurisation de la relation patient/thérapeute à travers la manière de questionner, et le contact « sécure ». On fait grand cas de cet aspect des choses, particulièrement dans les problématiques psychosomatiques. Au fil des séances, nous avons abordé en transversal le lien d’attachement, la conscience de l’unité corporelle « sécure », tout en soutenant la poursuite des évolutions dans leur vie en activant une histoire alternative... Pourquoi fallait-il que le symptôme résiste encore ? N’était-ce pas le prix à payer de la transgression à un monde relationnel traumatique où l’on a failli et où l’on ne peut pas réussir ? La honte est souvent le dernier bastion à surmonter ! En effet, dans le déroulement de la thérapie, j’ai perçu peu à peu la puissance du monde de la honte dans ces histoires de vie. Lorsque les bases sur lesquelles reposait l’expérience de confiance ont été plus présentes, cela nous a permis de dévoiler son emprise. C’est là que nous en étions arrivés avec la patiente de la séance qui va suivre et dont voici le script.
SCRIPT D’UNE SÉANCE
En TLMR, nous travaillons d’une manière particulière en externalisant le problème sur une scène métaphorique. Rien n’est calculé d’avance, cela vient au fil de la séance. On suit le processus qui se déroule à l’aide d’un questionnement hypnotique et de mouvements alternatifs.
J’ai enregistré cette séance que je vais retranscrire au mieux ci-dessous (MO : Mouvements oculaires ; taping sur les genoux). La patiente reparlait des brûlures qui étaient revenues en force. On peut voir comment on a pu percevoir le lien à ce stade de la thérapie, entre ces fameuses brûlures et l’expression du problème sous-jacent, sans que nous ne le nommions expressément… pour commencer à délier le symptôme de sa fonction de blocage du processus de vie.
- Patiente : « J’ai toujours mes brûlures au cou, à la gorge (elle montre).
- Thérapeute : C’est plutôt le cou ou la gorge ?
- P. : C’est le cou, plus large que la gorge.
- Th. : Comment vous le ressentez ?
- P. : Une gêne, aussi forte qu’une brûlure de fer à repasser, ça fait “oups” (elle montre avec un geste de sa main qui remonte rapidement de bas en haut).
- Th. : Ça fait “oups” comme une brûlure de fer à repasser ?
- P. : Oui, en continu, parfois c’est moins fort.
- Th. : Un “oups” en continu (je mime la main qui monte) et parfois c’est moins fort... (Je prends conscience que ces brûlures peuvent être plus fortes que ce que j’avais compris et en même temps je n’ai pas de représentations de ce que peut être un “oups” en continu. J’aurais pu explorer cette voie en sursaturant le questionnement pour lui permettre de descendre dans son corps, mais il me vient alors une autre voie.)
- Th. : Je peux vous proposer quelque chose d’un peu étrange ?
- P. : Oui.
- Th. : On va mettre là le cou (je montre devant nous sur une scène imaginaire) et là la brûlure (je montre à côté), comme celle d’un fer à repasser, ça fait “oups” en continu (j’aurais pu mieux explorer la forme que ça prenait, mais le geste que je refais en même temps est aussi une image, kinesthésique). Mes doigts vont aller de l’un à l’autre plusieurs fois et je vais demander à vos yeux de suivre mes doigts (la patiente a l’habitude, mais de le redire active chez elle une acceptation de ce que nous allons faire).
- P. : OK.
- Th. (je fais ce que j’ai dit, puis je m’arrête au bout de quelques séquences de mouvements alternatifs) : Si ça prend forme au milieu, entre les deux, qu’est-ce qui vient ?
- P. : Un feu en hauteur.
- Th. : Comment il est ce feu ? (je me rapproche à nouveau, je regarde la scène et je montre avec ma main devant).
- P. : Très vif, des flammes en hauteur (elle montre en remontant avec sa main). (MO)...
- Th. (je bâille) : Comment il est maintenant ? (je montre toujours avec la main devant).
- P. : C’est comme s’il avait diminué un peu, il est descendu... (MO... je bâille... ce bâillement est pour moi un bon indicateur que le processus se déroule, c’est comme si j’évacuais quelque chose, jusqu’à ce que le bâillement aille au bout.)
- P. : Encore un peu présent... (Quelques séquences de MO... je bâille... je ne dis rien tant que le processus se déroule, il est donc en mouvement.)
- P. : Plus que de la fumée... (MO, je bâille.)
- P. : Toujours la fumée... (MO, je bâille.)
- P. : C’est bon.
- Th. : Quand vous dites c’est bon ?... (je montre avec la main devant).
- P. : Y’a que des cendres... (Quelques séquences de MO.)
- P. : C’est pareil. (Il y a une douleur dans mon bras, avec ma main tendue devant, je recule pour sortir du champ, même si je ne sais pas ce qui se passe en lien avec ces cendres.)
- Th. : Qu’est-ce qui est présent ?
- P. : Des cendres, toujours...
Lire la suite...
MADY FAUCOUP GATINEAU
Psychothérapeute installée en libéral à Nantes. Formée aux thérapies brèves : Palo Alto, hypnose ericksonienne, thérapie orientée solution, stratégique et narrative. Formée à la TLMR (ex- HTSMA) : Thérapie du lien et des mondes relationnels, conçue et développée par le Dr Eric Bardot, psychiatre et psychothérapeute à Nantes. Formatrice en hypnose et en HTSMA à l’Institut Mimethys de Nantes.
Le travail a commencé par la sécurisation de la relation patient/thérapeute à travers la manière de questionner, et le contact « sécure ». On fait grand cas de cet aspect des choses, particulièrement dans les problématiques psychosomatiques. Au fil des séances, nous avons abordé en transversal le lien d’attachement, la conscience de l’unité corporelle « sécure », tout en soutenant la poursuite des évolutions dans leur vie en activant une histoire alternative... Pourquoi fallait-il que le symptôme résiste encore ? N’était-ce pas le prix à payer de la transgression à un monde relationnel traumatique où l’on a failli et où l’on ne peut pas réussir ? La honte est souvent le dernier bastion à surmonter ! En effet, dans le déroulement de la thérapie, j’ai perçu peu à peu la puissance du monde de la honte dans ces histoires de vie. Lorsque les bases sur lesquelles reposait l’expérience de confiance ont été plus présentes, cela nous a permis de dévoiler son emprise. C’est là que nous en étions arrivés avec la patiente de la séance qui va suivre et dont voici le script.
SCRIPT D’UNE SÉANCE
En TLMR, nous travaillons d’une manière particulière en externalisant le problème sur une scène métaphorique. Rien n’est calculé d’avance, cela vient au fil de la séance. On suit le processus qui se déroule à l’aide d’un questionnement hypnotique et de mouvements alternatifs.
J’ai enregistré cette séance que je vais retranscrire au mieux ci-dessous (MO : Mouvements oculaires ; taping sur les genoux). La patiente reparlait des brûlures qui étaient revenues en force. On peut voir comment on a pu percevoir le lien à ce stade de la thérapie, entre ces fameuses brûlures et l’expression du problème sous-jacent, sans que nous ne le nommions expressément… pour commencer à délier le symptôme de sa fonction de blocage du processus de vie.
- Patiente : « J’ai toujours mes brûlures au cou, à la gorge (elle montre).
- Thérapeute : C’est plutôt le cou ou la gorge ?
- P. : C’est le cou, plus large que la gorge.
- Th. : Comment vous le ressentez ?
- P. : Une gêne, aussi forte qu’une brûlure de fer à repasser, ça fait “oups” (elle montre avec un geste de sa main qui remonte rapidement de bas en haut).
- Th. : Ça fait “oups” comme une brûlure de fer à repasser ?
- P. : Oui, en continu, parfois c’est moins fort.
- Th. : Un “oups” en continu (je mime la main qui monte) et parfois c’est moins fort... (Je prends conscience que ces brûlures peuvent être plus fortes que ce que j’avais compris et en même temps je n’ai pas de représentations de ce que peut être un “oups” en continu. J’aurais pu explorer cette voie en sursaturant le questionnement pour lui permettre de descendre dans son corps, mais il me vient alors une autre voie.)
- Th. : Je peux vous proposer quelque chose d’un peu étrange ?
- P. : Oui.
- Th. : On va mettre là le cou (je montre devant nous sur une scène imaginaire) et là la brûlure (je montre à côté), comme celle d’un fer à repasser, ça fait “oups” en continu (j’aurais pu mieux explorer la forme que ça prenait, mais le geste que je refais en même temps est aussi une image, kinesthésique). Mes doigts vont aller de l’un à l’autre plusieurs fois et je vais demander à vos yeux de suivre mes doigts (la patiente a l’habitude, mais de le redire active chez elle une acceptation de ce que nous allons faire).
- P. : OK.
- Th. (je fais ce que j’ai dit, puis je m’arrête au bout de quelques séquences de mouvements alternatifs) : Si ça prend forme au milieu, entre les deux, qu’est-ce qui vient ?
- P. : Un feu en hauteur.
- Th. : Comment il est ce feu ? (je me rapproche à nouveau, je regarde la scène et je montre avec ma main devant).
- P. : Très vif, des flammes en hauteur (elle montre en remontant avec sa main). (MO)...
- Th. (je bâille) : Comment il est maintenant ? (je montre toujours avec la main devant).
- P. : C’est comme s’il avait diminué un peu, il est descendu... (MO... je bâille... ce bâillement est pour moi un bon indicateur que le processus se déroule, c’est comme si j’évacuais quelque chose, jusqu’à ce que le bâillement aille au bout.)
- P. : Encore un peu présent... (Quelques séquences de MO... je bâille... je ne dis rien tant que le processus se déroule, il est donc en mouvement.)
- P. : Plus que de la fumée... (MO, je bâille.)
- P. : Toujours la fumée... (MO, je bâille.)
- P. : C’est bon.
- Th. : Quand vous dites c’est bon ?... (je montre avec la main devant).
- P. : Y’a que des cendres... (Quelques séquences de MO.)
- P. : C’est pareil. (Il y a une douleur dans mon bras, avec ma main tendue devant, je recule pour sortir du champ, même si je ne sais pas ce qui se passe en lien avec ces cendres.)
- Th. : Qu’est-ce qui est présent ?
- P. : Des cendres, toujours...
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MADY FAUCOUP GATINEAU
Psychothérapeute installée en libéral à Nantes. Formée aux thérapies brèves : Palo Alto, hypnose ericksonienne, thérapie orientée solution, stratégique et narrative. Formée à la TLMR (ex- HTSMA) : Thérapie du lien et des mondes relationnels, conçue et développée par le Dr Eric Bardot, psychiatre et psychothérapeute à Nantes. Formatrice en hypnose et en HTSMA à l’Institut Mimethys de Nantes.
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SOMMAIRE
06 / Éditorial Troubles Psychosomatiques S’engager dans une médecine plus holistique bio-psycho-sociale J. Betbèze
10 / Avant-propos Une exploration de territoires où corps et esprit se rejoignent E. Bardot et S. Roy
12 / En couverture Anne Donzé et Vincent Chagnon S. Cohen
14 / Le pouvoir de l’eczéma Décontaminer le parent des effets du symptôme V. Bardot
28 / Psoriasis géant De la pensée opératoire à la pensée symbolique par la Thérapie du lien et des mondes relationnels (TLMR) S. Roy
40 / Psychosomatique et dermatologie : La peau, métaphore de la relation V. Bonnet
52 / Maux de tête et désir de perfection Sensations, externalisation et TLMR É. Bardot
71 / La controverse de médecine psychosomatique Entre corps et esprit, une fracture médicale et philosophique G. Ostermann
78 / Grand Entretien Jean Benjamin Stora et la psychosomatique intégrative G. Ostermann
94 / La psychosomatique, un phénomène hypnotique protecteur Sensations, émotions et PTR G. Brassine
106 / Honte et brûlures du cou Le symptôme somatique persistant M. Faucoup
120 / Ostéopathie et psychosomatique Enjeux et apports de la « double casquette ». Algoneurodystrophie et de douleurs abdominales P. Pétillot
134 / Quand la douleur devient l’identité Se relier à sa mobilité relationnelle M.-A. Jolly
146 / Trouble fonctionnel intestinal et syndrome anxiodépressif Signaux idéomoteurs et psychosomatiques S. Radoykov
152 / Asthme et créativité Les suggestions posthypnotiques de Proust P. Kivits
164 / L’hypnose thérapeutique, de quoi parle-t-on ? Un échange croisé, autour de l’hypnose thérapeutique É. Bardot, J. Betbèze et S. Roy
172 / Poême Ce corps K. Ficini
06 / Éditorial Troubles Psychosomatiques S’engager dans une médecine plus holistique bio-psycho-sociale J. Betbèze
10 / Avant-propos Une exploration de territoires où corps et esprit se rejoignent E. Bardot et S. Roy
12 / En couverture Anne Donzé et Vincent Chagnon S. Cohen
14 / Le pouvoir de l’eczéma Décontaminer le parent des effets du symptôme V. Bardot
28 / Psoriasis géant De la pensée opératoire à la pensée symbolique par la Thérapie du lien et des mondes relationnels (TLMR) S. Roy
40 / Psychosomatique et dermatologie : La peau, métaphore de la relation V. Bonnet
52 / Maux de tête et désir de perfection Sensations, externalisation et TLMR É. Bardot
71 / La controverse de médecine psychosomatique Entre corps et esprit, une fracture médicale et philosophique G. Ostermann
78 / Grand Entretien Jean Benjamin Stora et la psychosomatique intégrative G. Ostermann
94 / La psychosomatique, un phénomène hypnotique protecteur Sensations, émotions et PTR G. Brassine
106 / Honte et brûlures du cou Le symptôme somatique persistant M. Faucoup
120 / Ostéopathie et psychosomatique Enjeux et apports de la « double casquette ». Algoneurodystrophie et de douleurs abdominales P. Pétillot
134 / Quand la douleur devient l’identité Se relier à sa mobilité relationnelle M.-A. Jolly
146 / Trouble fonctionnel intestinal et syndrome anxiodépressif Signaux idéomoteurs et psychosomatiques S. Radoykov
152 / Asthme et créativité Les suggestions posthypnotiques de Proust P. Kivits
164 / L’hypnose thérapeutique, de quoi parle-t-on ? Un échange croisé, autour de l’hypnose thérapeutique É. Bardot, J. Betbèze et S. Roy
172 / Poême Ce corps K. Ficini